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On vous en a parlé (et on reviendra dans 1d4+1 semaines sur le jeu – durée non contractuelle) mais, nous,
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On vous en a parlé (et on reviendra dans 1d4+1 semaines sur le jeu – durée non contractuelle) mais, nous, Yuigahama Bad Seeds (YBS), ça nous a bien plu.
Comment ne pas aimer cet auteur attachant qui communique si bien son amour teinté de surprise pour son pays d’adoption, le Japon, ce jeu original par son cadre contemporain, réaliste et un peu fantastique ? Comment ne pas apprécier la beauté des illustrations à couper le souffle de l’auteur, la magnifique maquette réalisée sous l’impeccable direction artistique de Julien de Jaeger (qui ça ?) ?
On aimait bien aussi, car, pour une fois, la souscription n’impliquait pas un temps d’attente démesuré, celle-ci portant sur un projet quasiment fini et donc livrable dans des délais raisonnables.
Malheureusement, pour des raisons propres aux étranges mœurs consuméristes rôlistes (et aussi à l’énorme embouteillage de fin d’année qui lessive les portefeuilles), le projet peine un peu à trouver un public.
L’éditeur est alors monté en ligne sur les réseaux sociaux et les forums, a débloqué fin décembre un scénario (on vous en a parlé dans Lundi c’est gratuit) pour aider les curieux à découvrir le format spécifique et très ouvert des histoires qu’on peut raconter dans YBS. Il a également bossé dur pour intégrer les retours dans le PDF disponible pour tous ceux qui souscrivent et assuré que les utilisateurs du jeu aient la version la plus à jours possible. Bref, LETO a assuré la promo, signe que du côté de Jérôme Isnard et Laurent Rambour, on croit à ce projet.
Après les fêtes, LETO a annoncé qu’il réduisait la voilure d’un éventuel tirage et limitait la diffusion à 200 exemplaires, plus simple à produire et à stocker, afin de ne pas avoir à arrêter le projet, quitte à faire une opération blanche (d’après les termes de l’éditeur). (…)
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